L’AVANT-COURRIER

L’AVANT-COURRIER

L’Avant Courrier est une structure d’accompagnement et de production pour les artistes de cirque contemporain, créée en janvier 2014 à Nantes.

Elle porte une quinzaine de projets artistiques au long court aux formes très diverses. Le contour de notre accompagnement change chaque année au rythme de la vie des projets.

Derrière L’Avant Courrier il y a une direction collégiale et surtout cinq filles, Lisa HENIN, Anne HEUVELINE, Nolwenn MANAC’H, Clémence MUGARD et Louise-Michèle YOU, qui souhaitent voir la production et la diffusion comme un travail d’équipe. Et prendre le temps, tant que possible, d’intégrer leurs métiers dans une réflexion plus large sur les politiques artistiques et culturelles et la démocratie.

La structure s’investit également sur des temps ponctuels dans la formation, le conseil et le mentorat à destination des artistes, chargé.e.s de production/diffusion et compagnies.

L’Avant Courrier s’investit dans la structuration de la filière cirque et spectacle vivant de la région Pays de la Loire et développe un festival de cirque et de rue « Les Avant Curieux », en biennale sur les années paires.

NOTRE ÉQUIPE

ANNE HEUVELINE

Anne Heuveline

Production, Diffusion

+33 6 68 20 14 57
anne[@]avantcourrier.fr

V
Mad in Finland
Mad in Finland – le film

LISA HENIN

Lisa Henin

Production, Diffusion, Administration générale, Formation

+33 6 72 72 67 65
lisa[@]avantcourrier.fr

Attraction Capillaire
Pling-Klang
Faillir d'être raté

NOLWENN MANAC'H

Nolwenn Manac'h

Production, Diffusion, Formation, Développement

+33 6 76 78 01 19
nolwenn[@]avantcourrier.fr

Les Petits Bonnets
L'histoire de POM / Maison Noire
Les trois Grâces

Louise-Michèle You

Louise-Michèle You

Production, Diffusion, Administration générale

+33 6 17 16 17 40
louisemichele[@]avantcourrier.fr

L'Aorte

Clémence Mugard

Clémence Mugard

Production, Diffusion, Communication

+33 6 15 40 04 82
clemence[@]avantcourrier.fr

De bonnes raisons / Sans Titre 2027
Santa / La Balançoire géante
Faire un tour sur soi-même

»Mais

»avec

»

notre ancrage
territorial

La nantaise de la diffusion

Groupe informel d’une quarantaine de professionnel·les de la production diffusion de l’agglomération nantaise  (toutes disciplines confondues), la Nantaise de diffusion est née en 2014 suite à une rencontre du réseau national « C1métier ».  Espace d’échange entre pairs, la nantaise propose des petits déjeuners  thématiques mensuels . Elle porte également des chantiers de réflexion au long cours portés par des commissions (Formation chargé·e de diffusion – RSE – éthique de la diffusion)

Le PANA – ou C.R.I

Projet d’envergure pour les arts du cirque et de la rue, le PANA (pole des arts nomades « augmenté ») ou CRI (cirque rue et indisciplinées) regroupera à l’horizon 2028 des espaces de création, construction, entrainement  (etc) dans un nouvel équipement bâti  quartier Doulon- Gohars à Nantes.

Il s’agit en fait d’un projet porté historiquement par le Collectif Quai des Chaps, le PAN – Port des Arts Nomades, auquel la Ville de Nantes a souhaité associer des compagnies de cirques locales. En 2017 nous avions imaginé « Cirque en Chapelle » dans le cadre de l’appel « 15 lieux à réinventer », en proposant transformer l’ancienne chapelle du Martray en espace d’entrainement. . C’est au titre de cet engagement pour un lieu d’entrainement adapté aux arts du cirque que nous avons été conviées à intégrer le groupe de maitrise d’usage qui a pour fonction de définir, en lien avec la direction Culturelle de Ville de Nantes et Nantes Métropole Aménagement, le projet  dans sa globalité (espaces, missions, gouvernance). L’Avant Courrier participe aux réunions plénières ainsi qu’au comité de pilotage.

Le SCC

Depuis ses débuts, l’Avant Courrier adhère au syndicat d’employeur SCC – Syndicat des Cirques et Compagnies de Création.  En 2020 l’Avant Courrier devient délégué régional, aux côtés de la Cie A Portée de Mains.

Le Pôle spectacle vivant
Pays de la Loire

Depuis 2020, l’Avant Courrier est adhérente de l’association du Pole spectacle vivant en région Pays de la Loire en préfiguration. En région, les partenaires publics ont en effet appuyé la mise en place de pôles professionnels sectoriels (patrimoine, livre, etc) autour de missions de développement et de structuration de leur filière. Jusqu’à présent le spectacle vivant  ne disposait pas d’une organisation de ce type.

Le pole devrait être officiellement créé fin 2022. Il aura pour mission de favoriser la structuration, le développement et la coopération au sein de la filière du spectacle vivant en région Pays de la Loire et assurer sa valorisation Porté par ses adhérents et les partenaires publics, le Pôle spectacle vivant est un outil ressources au service du secteur.

notre ancrage
territorial

La nantaise de la diffusion

Groupe informel d’une quarantaine de professionnel·les de la production diffusion de l’agglomération nantaise  (toutes disciplines confondues), la Nantaise de diffusion est née en 2014 suite à une rencontre du réseau national « C1métier ».  Espace d’échange entre pairs, la nantaise propose des petits déjeuners  thématiques mensuels . Elle porte également des chantiers de réflexion au long cours portés par des commissions (Formation chargé·e de diffusion – RSE – éthique de la diffusion)

Le PANA – ou C.R.I

Projet d’envergure pour les arts du cirque et de la rue, le PANA (pole des arts nomades « augmenté ») ou CRI (cirque rue et indisciplinées) regroupera à l’horizon 2028 des espaces de création, construction, entrainement  (etc) dans un nouvel équipement bâti  quartier Doulon- Gohars à Nantes.

Il s’agit en fait d’un projet porté historiquement par le Collectif Quai des Chaps, le PAN – Port des Arts Nomades, auquel la Ville de Nantes a souhaité associer des compagnies de cirques locales. En 2017 nous avions imaginé « Cirque en Chapelle » dans le cadre de l’appel « 15 lieux à réinventer », en proposant transformer l’ancienne chapelle du Martray en espace d’entrainement. . C’est au titre de cet engagement pour un lieu d’entrainement adapté aux arts du cirque que nous avons été conviées à intégrer le groupe de maitrise d’usage qui a pour fonction de définir, en lien avec la direction Culturelle de Ville de Nantes et Nantes Métropole Aménagement, le projet  dans sa globalité (espaces, missions, gouvernance). L’Avant Courrier participe aux réunions plénières ainsi qu’au comité de pilotage.

Le SCC

Depuis ses débuts, l’Avant Courrier adhère au syndicat d’employeur SCC – Syndicat des Cirques et Compagnies de Création.  En 2020 l’Avant Courrier devient délégué régional, aux côtés de la Cie A Portée de Mains.

Le Pôle spectacle vivant
Pays de la Loire

Depuis 2020, l’Avant Courrier est adhérente de l’association du Pole spectacle vivant en région Pays de la Loire en préfiguration. En région, les partenaires publics ont en effet appuyé la mise en place de pôles professionnels sectoriels (patrimoine, livre, etc) autour de missions de développement et de structuration de leur filière. Jusqu’à présent le spectacle vivant  ne disposait pas d’une organisation de ce type.

Le pole devrait être officiellement créé fin 2022. Il aura pour mission de favoriser la structuration, le développement et la coopération au sein de la filière du spectacle vivant en région Pays de la Loire et assurer sa valorisation Porté par ses adhérents et les partenaires publics, le Pôle spectacle vivant est un outil ressources au service du secteur.

Chaque année, l’Avant-Courrier donne carte blanche à un artiste pour illustrer la saison qui s’annonce…

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2024

par Melissa Menu

Mélissa Menu est une artiste nantaise qui imagine des aventures cosmiques à accrocher au mur. Réalisés en traditionnel à l’encre de chine ou via le digital, ses univers fourmillent de détails et de petites scénettes, de quoi ravir les mirettes qui aiment prendre le temps de s’égarer.

2023

par Natalie Oleinik

Natalie Oleinik est une artiste de cirque et créatrice.
Son expérience et sa pratique des arts visuels dans sa jeunesse a influencé sa trajectoire créative en tant que circassienne. Elle s’est spécialisée en corde aérienne à l’École nationale de cirque de Montréal et a obtenu son diplôme en 2011. Son travail visuel englobe les tampons gravés main, le dessin, la lino gravure et la risographie. Elle souhaite amener le cirque et les performances artistiques aux espaces en deux dimensions.  Ses œuvres ont été présenté dans le livre Thinking Through Circus (Art Paper Editions) et dans le magazine BUM (Helsinki).
Elle travaille actuellement sur le projet Sense Space, un stage qui se décline en un livre illustré et interactif qui guide l’utilisateur à travers une série d’improvisations en utilisant le mouvement, les objets, l’espace, l’imagination et le dessin pour approfondir la pratique du cirque. Elle vit à Nantes.
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2022

par Lucie Lintanf

Est née en 1989 et vit à Douarnenez. Après un master Art aux Beaux-Arts de Nantes, Lucie a travaillé en tant qu’assistante de la chorégraphe Maïté Guérin en Hollande pour la compagnie Gotra Project. En 2015, elle suit la formation PEPCC, (Programme d’étude, de recherche et de création chorégraphique) organisée par Forum Dança à Lisbonne. Elle a travaillé en tant qu’interprète pour Miguel Pereira, Catarina Oliveira et Tiago Cavalhas. Elle travaille aussi sur Superadaptation, performance en collaboration avec Inês Cartaxo, Ana Paula Gusmao et Luis Odriozola. En 2017, elle crée avec Romain Beltrão Teule la structure de production de spectacles vivants Le Vertige, implantée à Brest. Lucie développe son travail personnel en créant La femme à la bûche (2014) et BrÜte (2019-2022). Elle utilise la scène comme outil réflexif et documentaire, et y explore le glissement d’un langage à l’autre afin de changer continuellement les façons de faire vivre nos mémoires et nos histoires. Ces recherches liées au paysage, au féminisme et à la musique punk influencent son travail. Elle pratique le dessin de manière irrégulière quand l’envie lui prend ou qu’une proposition se présente.

2021

par Camil Barrales

Camil Barrales est née à Talcuhuano au Chili. Elle est dessinatrice autodidacte et graphiste. Depuis 2010, elle travaille autour du fanzine, numéros façonnés et auto-édités, personnels ou collectifs. Concevant son métier comme un lien, elle impulse et participe à différents projets de recherche ou de création pluridisciplinaire. Le dessin comme langage et imaginaire l’ouvre à la gravure, la sérigraphie, la céramique et le tatouage. Elle dispense des cours de dessin, d’expérimentation graphique et poésie visuelle.  Camil s’agite et s’active depuis le sensible, de manière « amoureuse », autogéré et autonome.

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2020

par Benjamin Bachelier

Benjamin Bachelier a grandi à Grenoble, où il passe un baccalauréat d’arts plastiques. Après des études de beaux-arts à Angoulême, il se consacre à l’illustration pour la presse et l’édition jeunesse ainsi qu’à la bande dessinée, tout en occupant des emplois précaires à Paris. Il a publié plusieurs albums et réalisé des couvertures de livres pour les éditions Casterman, Nathan, Glénat et Actes Sud. Il vit et travaille à Nantes depuis 2003. En 2006 paraissent ses premiers albums. Depuis 2010, ses travaux portent plus fréquemment sur la peinture à l’huile en grand format ainsi que sur des « acryliques, aquarelles, dessins et encres ».

2019

par Jeronimo

S’il dessine depuis toujours, le travail de Jérôme Maillet reste marqué par son parcours d’architecte. Né en 1979, il se forme à l’ENSAAMA / Olivier de Serres à Paris et complète son cursus à l’Ecole d’Architecture de Nantes, où il vit depuis. Sous le nom de Jeronimo, il cherche à extraire, dans ce qu’il observe, l’élément qui sera porteur d’universel pour se créer de nouveaux cadres de perception. Le rapport de l’homme à son territoire est une composante récurrente dans les images qu’il produit. Il explore ainsi nos imaginaires collectifs et nos manières de nous projeter dans un espace pour composer de nouveaux récits. En atelier ou en dehors, son travail s’articule autour du dessin et de ses champs d’expérimentation. Dessin unique, multiple, échelles et matériaux varient selon le contexte d’intervention. Cette liberté donne l’occasion d’inventer de nombreuses collaborations.

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2018

par Delphine Vaute

J’ai grandi sur les bords de la Loire, à observer la nature et à rêver. Ces longs étés angevins dans mon jardin ont nourri mon imagination et sont sûrement à la genèse de certains projets graphiques. D’Angers où j’ai fait mes études aux Beaux-Arts, je suis descendue le long du fleuve jusqu’à Nantes où je vis depuis plusieurs années. Des vitrines du Muséum d’Histoire Naturelle et à la poussière de vieux greniers, je puise d’anciens visuels, qu’ils soient au centre de mon sujet ou juste utilisés comme vecteur d’idées et de sens.
Que ce soit sur une toile, de la porcelaine, une plaque de métal ou du papier, le trait reste au centre de mes recherches.

2017

par Lucile Reguerre

Née en 1985, vit et travaille à Nantes.
Graveuse, Scénographe, Plasticienne, Technicienne en décors.
Graveuse, ma pratique artistique est la linogravure. J’appréhende mon travail de graveuse de la même manière que mon travail de scénographe. Il s’agit pour moi de raconter une histoire implantée dans un lieu ou sur une feuille de papier. Mon parti pris est de travailler la gravure à l’échelle d’un espace. Ainsi par des procédés variés (multiplication d’un motif, vidéoprojection, ou encore sérigraphie) mes créations prennent une place monumentale au coeur du lieu qui les accueille.

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2016

par Gwenaël Manac’h

Né en 1990, je vis à Grenoble, où j’ai été élevé au beurre salé.
A l’âge du libre arbitre, je suis parti apprendre le métier d’illustrateur en Belgique, où j’ai appris le savoir vivre (au vrai sens du terme).
Depuis ma sortie de l’école Saint-Luc à Liège, je louvoie avec satisfaction, au gré des coups de museau. J’ai fait de la BD reportage (XXI) et du jeu-vidéo (studio Chahut), de la peinture et de la mécanique vélo.J’aime illustrer l’humain dans ses doutes et ses grattouilles.
Mon premier Livre « La cendre et le trognon » est sorti en Janvier 2019, aux éditions Six pieds sous terre.

2015

par Kazy-K

Kazy-K, né en 1984, vit et travaille à Nantes.
Nourri d’une pratique du graffiti sous ses formes les plus diverses pendant plus d’une dizaine d’années, il utilise aujourd’hui un large éventail de technique de représentation (gravure, sérigraphie, peinture, encre, pochoir…). Influencé par les classiques de la Peinture, l’imagerie underground des années 80 à aujourd’hui, ou plus largement par « l’art populaire », il n’hésite pas à détourner de manière incisive certaines iconographies sacrées. Son travail pourrait se définir par une recherche constante de rencontre, technique, humaine, culturelle; où le frottement alimente constamment sa recherche artistique. C’est par cette recherche qu’il alimente une variété de « langages » dans un souci d’accessibilité par le plus grand nombre. Kazy-K collabore également avec différents collectifs et compagnies. Ses productions sont le plus fréquemment nourries de voyages et référencées à la rue, source d’inspiration infinie considérée comme une galerie à ciel ouvert et un parfait terrain d’expérimentation.

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Chaque année, l’Avant-Courrier donne carte blanche à un artiste pour illustrer la saison qui s’annonce…

2023

par Natalie Oleinik

Est née en 1989 et vit à Douarnenez. Après un master Art aux Beaux-Arts de Nantes, Lucie a travaillé en tant qu’assistante de la chorégraphe Maïté Guérin en Hollande pour la compagnie Gotra Project. En 2015, elle suit la formation PEPCC, (Programme d’étude, de recherche et de création chorégraphique) organisée par Forum Dança à Lisbonne. Elle a travaillé en tant qu’interprète pour Miguel Pereira, Catarina Oliveira et Tiago Cavalhas. Elle travaille aussi sur Superadaptation, performance en collaboration avec Inês Cartaxo, Ana Paula Gusmao et Luis Odriozola. En 2017, elle crée avec Romain Beltrão Teule la structure de production de spectacles vivants Le Vertige, implantée à Brest. Lucie développe son travail personnel en créant La femme à la bûche (2014) et BrÜte (2019-2022). Elle utilise la scène comme outil réflexif et documentaire, et y explore le glissement d’un langage à l’autre afin de changer continuellement les façons de faire vivre nos mémoires et nos histoires. Ces recherches liées au paysage, au féminisme et à la musique punk influencent son travail. Elle pratique le dessin de manière irrégulière quand l’envie lui prend ou qu’une proposition se présente.

2022

par Lucie Lintanf

Est née en 1989 et vit à Douarnenez. Après un master Art aux Beaux-Arts de Nantes, Lucie a travaillé en tant qu’assistante de la chorégraphe Maïté Guérin en Hollande pour la compagnie Gotra Project. En 2015, elle suit la formation PEPCC, (Programme d’étude, de recherche et de création chorégraphique) organisée par Forum Dança à Lisbonne. Elle a travaillé en tant qu’interprète pour Miguel Pereira, Catarina Oliveira et Tiago Cavalhas. Elle travaille aussi sur Superadaptation, performance en collaboration avec Inês Cartaxo, Ana Paula Gusmao et Luis Odriozola. En 2017, elle crée avec Romain Beltrão Teule la structure de production de spectacles vivants Le Vertige, implantée à Brest. Lucie développe son travail personnel en créant La femme à la bûche (2014) et BrÜte (2019-2022). Elle utilise la scène comme outil réflexif et documentaire, et y explore le glissement d’un langage à l’autre afin de changer continuellement les façons de faire vivre nos mémoires et nos histoires. Ces recherches liées au paysage, au féminisme et à la musique punk influencent son travail. Elle pratique le dessin de manière irrégulière quand l’envie lui prend ou qu’une proposition se présente.

2021

par Camil Barrales

Camil Barrales est née à Talcuhuano au Chili. Elle est dessinatrice autodidacte et graphiste. Depuis 2010, elle travaille autour du fanzine, numéros façonnés et auto-édités, personnels ou collectifs. Concevant son métier comme un lien, elle impulse et participe à différents projets de recherche ou de création pluridisciplinaire. Le dessin comme langage et imaginaire l’ouvre à la gravure, la sérigraphie, la céramique et le tatouage. Elle dispense des cours de dessin, d’expérimentation graphique et poésie visuelle.  Camil s’agite et s’active depuis le sensible, de manière « amoureuse », autogéré et autonome.

2020

par Benjamin Bachelier

Benjamin Bachelier a grandi à Genoble, où il passe un baccalauréat d’arts plastiques. Après des études de beaux-arts à Angoulême, il se consacre à l’illustration pour la presse et l’édition jeunesse ainsi qu’à la bande dessinée, tout en occupant des emplois précaires à Paris. Il a publié plusieurs albums et réalisé des couvertures de livres pour les éditions Casterman, Nathan, Glénat et Actes Sud. Il vit et travaille à Nantes depuis 2003. En 2006 paraissent ses premiers albums. Depuis 2010, ses travaux portent plus fréquemment sur la peinture à l’huile en grand format ainsi que sur des « acryliques, aquarelles, dessins et encres ».

2019

par Jeronimo

S’il dessine depuis toujours, le travail de Jérôme Maillet reste marqué par son parcours d’architecte. Né en 1979, il se forme à l’ENSAAMA / Olivier de Serres à Paris et complète son cursus à l’Ecole d’Architecture de Nantes, où il vit depuis. Sous le nom de Jeronimo, il cherche à extraire, dans ce qu’il observe, l’élément qui sera porteur d’universel pour se créer de nouveaux cadres de perception. Le rapport de l’homme à son territoire est une composante récurrente dans les images qu’il produit. Il explore ainsi nos imaginaires collectifs et nos manières de nous projeter dans un espace pour composer de nouveaux récits. En atelier ou en dehors, son travail s’articule autour du dessin et de ses champs d’expérimentation. Dessin unique, multiple, échelles et matériaux varient selon le contexte d’intervention. Cette liberté donne l’occasion d’inventer de nombreuses collaborations.

2018

par Delphine Vaute

J’ai grandi sur les bords de la Loire, à observer la nature et à rêver. Ces longs étés angevins dans mon jardin ont nourri mon imagination et sont sûrement à la genèse de certains projets graphiques. D’Angers où j’ai fait mes études aux Beaux-Arts, je suis descendue le long du fleuve jusqu’à Nantes où je vis depuis plusieurs années. Des vitrines du Muséum d’Histoire Naturelle et à la poussière de vieux greniers, je puise d’anciens visuels, qu’ils soient au centre de mon sujet ou juste utilisés comme vecteur d’idées et de sens.
Que ce soit sur une toile, de la porcelaine, une plaque de métal ou du papier, le trait reste au centre de mes recherches.

2017

par Lucile Reguerre

Née en 1985, vit et travaille à Nantes.
Graveuse, Scénographe, Plasticienne, Technicienne en décors.
Graveuse, ma pratique artistique est la linogravure. J’appréhende mon travail de graveuse de la même manière que mon travail de scénographe. Il s’agit pour moi de raconter une histoire implantée dans un lieu ou sur une feuille de papier. Mon parti pris est de travailler la gravure à l’échelle d’un espace. Ainsi par des procédés variés (multiplication d’un motif, vidéoprojection, ou encore sérigraphie) mes créations prennent une place monumentale au coeur du lieu qui les accueille.

2016

par Gwenaël Manac’h

Né en 1990, je vis à Grenoble, où j’ai été élevé au beurre salé.
A l’âge du libre arbitre, je suis parti apprendre le métier d’illustrateur en Belgique, où j’ai appris le savoir vivre (au vrai sens du terme).
Depuis ma sortie de l’école Saint-Luc à Liège, je louvoie avec satisfaction, au gré des coups de museau. J’ai fait de la BD reportage (XXI) et du jeu-vidéo (studio Chahut), de la peinture et de la mécanique vélo.J’aime illustrer l’humain dans ses doutes et ses grattouilles.
Mon premier Livre « La cendre et le trognon » est sorti en Janvier 2019, aux éditions Six pieds sous terre.

2015

par Kazy-K

Kazy-K, né en 1984, vit et travaille à Nantes.
Nourri d’une pratique du graffiti sous ses formes les plus diverses pendant plus d’une dizaine d’années, il utilise aujourd’hui un large éventail de technique de représentation (gravure, sérigraphie, peinture, encre, pochoir…). Influencé par les classiques de la Peinture, l’imagerie underground des années 80 à aujourd’hui, ou plus largement par « l’art populaire », il n’hésite pas à détourner de manière incisive certaines iconographies sacrées. Son travail pourrait se définir par une recherche constante de rencontre, technique, humaine, culturelle; où le frottement alimente constamment sa recherche artistique. C’est par cette recherche qu’il alimente une variété de « langages » dans un souci d’accessibilité par le plus grand nombre. Kazy-K collabore également avec différents collectifs et compagnies. Ses productions sont le plus fréquemment nourries de voyages et référencées à la rue, source d’inspiration infinie considérée comme une galerie à ciel ouvert et un parfait terrain d’expérimentation.